Le prince Gabriel, fils du roi Philippe et de la reine Mathilde, suscite toujours l’intérêt du public, non seulement en raison de son rang au sein de la monarchie belge, mais aussi pour son allure et son comportement. Depuis que la Cour royale a dévoilé de nouvelles images pour commémorer son vingt-deuxième anniversaire, sa taille, longtemps tenue secrète, a alimenté les débats. Le jeune prince apparaît grand et élégant sur ces photos, et son attitude est davantage celle d’un officier que d’un élève.

Gabriel, deuxième enfant du couple royal et deuxième dans l’ordre de succession au trône après sa sœur aînée, la princesse Elisabeth, est né à Anderlecht le 20 août 2003. De par son statut particulier, il doit trouver un juste équilibre entre la liberté de suivre sa propre voie et les responsabilités symboliques qui lui incombent en lien avec le trône. Son comportement, caractérisé à la fois par une discipline militaire et une curiosité intellectuelle particulièrement vive, reflète cette dualité.
Informations sur le Prince Gabriel de Belgique
| Élément | Détails |
|---|---|
| Nom complet | Gabriel Baudouin Charles Marie de Belgique |
| Date de naissance | 20 août 2003 |
| Parents | Roi Philippe et Reine Mathilde de Belgique |
| Lieu de naissance | Anderlecht, Belgique |
| Rang dans la succession | Deuxième dans l’ordre du trône belge |
| Formation actuelle | Étudiant en sciences sociales et militaires à l’École royale militaire |
| Langues parlées | Français, néerlandais, anglais |
| Loisirs | Tennis, hockey, ski, voile, piano |
| Référence officielle |
Il suit les cours de l’Académie royale militaire depuis août 2022 afin d’obtenir un diplôme en études sociales et militaires. Dans le cadre de ce programme exigeant, il participe à un échange Erasmus à l’Académie militaire de Saint-Cyr-Coëtquidan, en France. Cette décision témoigne d’un engagement envers l’Europe et d’un sens des responsabilités qui rappelle celui de son grand-père, le roi Albert II. Un parcours remarquable pour un jeune homme destiné à la vie publique : Gabriel a auparavant obtenu son baccalauréat international à l’École internationale de Bruxelles et effectué une année préparatoire au National Mathematics and Science College au Royaume-Uni.
La diversité culturelle de la Belgique se reflète dans son éducation multilingue. Sa maîtrise remarquable du français, du néerlandais et de l’anglais fait de lui un atout précieux en tant que futur envoyé de Belgique. Sa capacité à parler trois langues renforce sa réputation de successeur moderne, capable d’interagir avec une nation divisée par les différences linguistiques, mais unie par sa monarchie. Ses professeurs le décrivent comme travailleur, consciencieux et d’une discrétion exceptionnelle – des qualités rares à une époque où la présence en ligne est omniprésente.
Les photos officielles publiées pour son 22e anniversaire révélaient une silhouette svelte et athlétique, rappelant celle du roi Philippe enfant. Même si sa taille exacte n’a jamais été déterminée, il est évident que sa stature ne passe pas inaperçue lors des événements officiels. Certains analystes l’ont comparé à d’autres princes européens, notamment William et Harry du Royaume-Uni, dont l’image publique et l’attitude militaire ont façonné la perception d’une monarchie contemporaine et dynamique.
Étudiant assidu, Gabriel est aussi un jeune homme passionné de musique et de sport. Outre le tennis, le ski et la voile, qu’il pratique dès qu’il en a l’occasion, il a joué au hockey pendant neuf ans dans un club bruxellois. Son équilibre personnel, qu’il semble cultiver avec la même rigueur qu’un officier en formation, est influencé par cet équilibre entre effort et repos. Ses proches affirment qu’il joue du piano depuis sa plus tendre enfance, ce qui l’aide à structurer ses pensées et à préserver une certaine stabilité émotionnelle dans une vie très structurée.
Le jeune prince s’est distingué pendant la pandémie par un geste d’une incroyable générosité : il a passé des heures au téléphone avec des personnes âgées isolées, résidant en EHPAD, pour leur apporter du réconfort. Cet effort, discrètement mis en avant, a révélé un sens des responsabilités et une empathie exceptionnels. À seulement 17 ans, il a fait preuve d’une conscience sociale qui transcende les conventions royales en se consacrant à aider les personnes en situation de handicap.
Cette proximité avec le public contraste fortement avec l’image parfois distante de la monarchie. Les Belges le perçoivent comme une présence rassurante, discipliné sans être dogmatique, sérieux mais accessible. La position réfléchie de la Cour semble répondre à l’attente sociale d’une monarchie plus humaine, privilégiant le service à la formalité. Ainsi, la taille de Gabriel devient presque le symbole d’un jeune homme qui s’épanouit en accord avec les valeurs de sa nation.
Quant à sa famille, sa relation avec la princesse Elizabeth, héritière du trône, fascine. Tous deux partagent un sens aigu du devoir et une complicité naturelle. D’après les informations recueillies, Gabriel respecte la persévérance de sa sœur, et celle-ci apprécie son assiduité et son humour subtil. Ensemble, ils incarnent une nouvelle génération royale qui privilégie l’éducation, la responsabilité et la modération – une position nettement différente de celle des dynasties plus anciennes, plus à l’aise avec les médias.
Bien que cela puisse paraître anecdotique, l’attention médiatique portée à sa taille témoigne d’une tendance plus large : la préoccupation pour les symboles tangibles de l’autorité.
